vendredi 27 février 2015

Avancées (février 2015)

Alors, la dernière fois que j'ai fait un point sur mes avancées sur mon blog c'était... l'année dernière ! Non, même avant, en septembre 2013...

Romans :

=> Expériences trop réussies : Quand une jeune fille découvre que son monde est différent de ce qu'elle imaginait. Que son histoire est aussi très différente de ses voisins, ou de ce qu'elle croyait...
La Chimère (T1) s'approche de la fin des corrections (corrections de fond à priori terminés. Je retouche la forme avec Antidote)
Les tomes suivants auront une grosse partie de corrections et je m'y attellerais quand la Chimère sera partie chez les éditeurs voir si l'herbe est plus verte ailleurs

=> Les enfants d'Ellinao : Quatre enfants/adolescents sont propulsés dans un monde en pleine guerre civile après avoir grandi sur Terre. Les catastrophes sont obligés de débarquer...
Toujours en pause devant la tonne de travail (je suis arbitrairement à la V5). Mais j'ai de plus en plus envie de le dépoussiérer.

=> Mort Sans Souvenirs : Une jeune femme, Anna, se découvre des souvenirs de vies antérieurs  alors qu'elle vit la première année loin de ses parents, à New York. Là elle y rencontre deux personnalités très importantes, qui pourraient décidé de son futur, mais aussi de son passé.
Je suis toujours aussi fière de la première partie de cette histoire, mais la suite est juste à balancer et à reprendre. J'espère que cette année, j'aurais le courage de m'y remettre.

=> La Corporation du Dragon : Elsa termine sa thèse par une présentation en grande pompe, notamment devant le fondateur de l'informagie, qu'elle a toujours idolâtré. Malheureusement pour elle, il semble levé d'un très mauvais pieds et lui ferme "à tout jamais" les portes de son rêves, assurant que jamais, lui vivant, elle ne pourra travailler à la Corporation du Dragon. Mais heureusement, cette rencontre n'est pas la dernière fois qu'elle croise la route du taciturne Theirn Deschanels.
Plan de corrections écrits, yapluka. C'est ce qui reste à faire, corriger. Le premier jet est sympa, mais se focalise trop sur l'histoire d'Elsa, et pas assez sur ses soeurs (pourtant, elles sont aussi importantes qu'Elsa). Et du coup, il y a une grande partie à ajouter...

=> Le Retour : Dix ans après être parti sans un mot, Aoris (Aurélien) est forcé de revenir au grand jour. Ses enquêtes l'emmène à s'interroger en profondeur sur ce qui s'est passé dix ans plus tôt... Mais aucun de ses fantasmes ne le prépare à la nouvelle que sa femme et son amant se sont passés de lui, ensemble. Mais qui peut-il blâmer autre que lui-même ?
Toujours en cours d'écriture, et je suis toujours un peu partagée sur la fin (notamment ce qu'il advient des méchants et la forme du happily ever after). Mais j'aime trop les personnages et je compte bien le finir, dès que j'ai le temps devant moi pour faire le point sur l'intrigue...

Nouvelles :

=> La promesse du Crépuscule : Lilliane/Boris (si vous savez pas ce que ça veut dire, vous en faites pas, c'est juste un couple emblématique, apparaissant notamment dans Les Enfants d'Ellinao, qui a un certain pattern que je reprends souvent) en mode bas-fond/show-business.
En cours d'écriture (ou alors on considère que c'est une réécriture, vu que c'est à la base de la fanfiction que j'ai écrite sur les acteurs de Twilight, mais que j'ai repris dans un monde beaucoup plus sombre et moins bisounours. (démarré en atelier d'écriture, l'année dernière)

=> Al louarn : fantastique med-fan dans l'univers d'Ellinao. Avec une renarde, et du breton...
Je ne sais pas si un jour je parviendrais à écrire une version correcte de cette histoire. Pour l'instant, je dois en être à la quatrième version, et elle est à recommencer, comme elle ne me convainc pas... Je pense qu'avant d'en être vraiment contente je devrais faire beaucoup plus de recherche historique que ce que j'ai fait jusqu'à présent

=> Oiseau de malheur : Quand l'inattendu prend la forme d'une jeune métisse perdu dans le monde actuel, entre passé de sa mère, culture de son père et celle de son pays d'adoption. Le tout avec des métamorphes, sinon c'est pas drôle.
Elle est en cours (beaucoup de projet en cours, hein ^^) de restructuration. Parce que j'aime beaucoup l'idée, mais que la forme actuelle ne la met pas à son meilleur avantage. Mais elle reste en mode 2eme personne.

Fanfiction :

=> Serpentins (https://www.fanfiction.net/s/8475222/1/Serpentins) : fanfiction de longue haleine, qui me tient à coeur, dans l'univers d'Harry Potter. Et pour lequel j'ai pas écrit un chapitre depuis quasiment un an. Et qu'il faudrait que je m'y mette.

=> Les Ruines de l'Ancien Monde (https://www.fanfiction.net/s/10524691/1/RAM-1-L-Appel-des-Lames) : fanfiction dans l'univers d'Harry Potter, qui emprunte aussi pas mal à Tad Williams et à son Arcane des Epées. Quand elle sera fini, elle roxxera du tonnerre. D'ici là... heu... et bien... elle est en cours, comme un nombre incalculable de mes projets...

=> Malédiction de Swann (https://www.fanfiction.net/s/10169994/1/Mal%C3%A9diction-de-Swann) fanfiction dans l'univers de Twilight. La toute première que j'ai voulu écrire. Et que j'ai à moitié abandonné. Mais à moitié seulement, hein ^^

(il y en a d'autres, mais j'ai pas envie de les considérer comme des fic en projets en ce moment... Soit parce qu'elles sont finis, soit parce que je veux pas m'y mettre maintenant. Et je peux pas me mettre à détailler toutes mes fanfics, il n'y aurait pas de fin...)

Autres projets :

=> Banques Asrian : Trop graphique pour une nouvelle, je vais tenter de le faire passer en mode scénario et tenter de voir comment ça fonctionne pour lui. Mais c'est dans un objectif lointain que je n'ai pas plus creusé pour l'instant.

=> My father : c'est en anglais, déjà. C'est un peu dans le même genre, j'essaye d'autre support. Celui-ci est plus de l'essai "bénévole" étant donné que je ne pourrais jamais récupérer de droits dessus, mais le challenge me plait et permet que je bosse mon anglais.
En gros, le but c'est de faire une histoire par dialogue (plateforme Episode, par pocketgems) avec des informations scenique. (et en anglais, vu qu'il n'y a pas de lectorat francophone. Pas de lectorat pour quoi que ce soit d'autre que de l'anglais, d'ailleurs)...

jeudi 26 février 2015

Animae - L'esprit de Lou - Roxane Dambre (roman, Tome 1 sur 4)

Depuis le temps que je dois faire cette chronique, il est temps que je m'y mette.

Titre : Animae - L'esprit de Lou (T1)
Auteur : Roxane D'Ambre
Editeur : Editions de l'Epée (Numérique only) / Edition J'ai lu (papier only)
Quatrième de couverture :
"Je m’appelle Lou, j’ai 20 ans, et dans quelques heures, je vais m’installer dans les bureaux de la DCRI, les services secrets français.

Mon job ? Officiellement, consultante au département de recherche sur l’inexplicable. Officiellement. Parce qu’en réalité, je traque une bizarrerie qui rôde dans la nuit parisienne, un truc que je n’ai pas encore cerné, mais qui fait hurler de rage mon instinct de panthère.

Oh, je ne vous ai pas dit ? Comme tous ceux de ma race, ma vraie nature est animale, et je me transforme à volonté. Nous, les Daïerwolfs, formons un peuple très puissant, mais contraint à se cacher des faibles humains. Enfin, faibles... pas tous. L’officier qui m’a recrutée, le capitaine Sylvain Levif, pourrait me vaincre d’un seul regard tant il me plaît ! À cette heure, je n’ai pas encore décidé si cela va rendre ma mission plus agréable ou plus compliquée. Ou les deux. Et zut. Pourquoi ces choses-là n’arrivent-elles qu’à moi ?"

Une vraie découverte que cette jeune femme débordant d’énergie et d’humour, dotée d’un sens acéré de la répartie, capable de ronronner avec son amoureux comme d’arracher la gorge de ses ennemis. On a hâte de lire la suite de ses aventures...

Avis du critique :
Miaou ! Cette Lou nous emmène sur la face cachée de la Capitale. Une double(triple?)-vie, une romance avec un chef des services secrets trop craquants, Depuis le temps que je devais faire cette chronique, la voici.
J'ai lu (dévoré) cette enquête, il y a déjà un moment, mais je me souviens de la fraicheur de l'histoire, de cette Lou, qui joue à des jeux vidéo où il faut dégommer des aliens pour être recrutés comme agent secrets.

J'ai adoré son innocence, et qu'elle reste aussi ... sans aucun soupçon sur l'intrigue générale. (je ne veux pas trop en dire pour ne pas gâcher la surprise). Elle n'a aucune idée de ce qui se trame autour d'elle, et nous non plus, on est pris dans l'histoire, dans cette ambiance un peu folle et un peu étrange.
Parce qu'on se demande bien ce qui se passe dans cette histoire, et si le secret de l'héroine est sauf ou s'il est en danger...

Mais l'un des autres moments que j'ai adoré dans cette histoire, c'est le passé des autres agents secrets.
Et mes préférés, c'est la relation entre "Sylvain" et son second. Parce que c'est juste trop mignon.
C'est l'une des choses que j'ai le plus aimé dans cette histoire.

L'intrigue en elle-même, elle est peut-être un peu classique, peut-être un peu cliché. Je l'accorde volontiers. Mais ce n'est pas ce qui est important dans cette histoire. C'est plus la légèreté, la relation entre les personnages et surtout, le personnage de Lou. Et Sylvain, aussi un peu (et son second !)
Les scènes d'actions (parce que les agents secrets ne restent pas vingts ans derrières leurs ordi à faire mumuse sur des jeux d'extra-terrestres) sont enlevés, dynamique, et renforcent encore l'impression de légèreté et de fraîcheur.

Le coté fantastique / urban-fantasy est très sympa, avec surtout la relation de Lou et de son meilleur ami (qui prend des fois le rôle de petit frère trouillard qui fait preuve à certains moment d'un courage assez monumental) ou de sa relation avec sa mère (quoique c'est surtout dans le tome suivant qu'on voit Aigle)...

A lire si vous aimez :
-> le second degré
-> la fraicheur du premier amour (même si elle est super intelligente, ça donne pas direct bonne compréhension des relations humaines)
-> les jeunes femmes un peu capable de prendre soin d'elles. (Voir de prendre soin de leur chevalier servant)
-> les inventions loufoques qui ont toujours un intérêt ... ou pas toujours. (Ah, Arthur, c'est tout un personnage !)

A évitez si :
-> vous voulez une lecture sérieuse. Relachez tout de suite Lou et ses amis, c'est clairement pas pour vous
-> Vous êtes allergique aux panthères. Sisisi. C'est très important.

Même si je l'ai lu il y a longtemps, il reste très présent à ma mémoire, comme l'un des coups de coeur de 2013 (oui, je sais, je suis lente à écrire les chroniques ^^).
Il est paru depuis quelques mois en format poche, chez J'ai lu. 

jeudi 19 février 2015

De la complexité de l'original -- coté éditorial ou pas

Bon, je n'ai pas été très active sur ce blog depuis plusieurs mois. Ceux qui me connaissent savent au moins l'une des multiples raisons, toutes surtout personnelles.

Je voulais parler aujourd'hui de l'utilité d'être original quand on envoie un texte qui va se faire selectionner. C'est un trait générique, mais le fait d'avoir lu une liste ce matin (les histoires à ne pas écrire, parce que déjà trop vue et trop surfaites), m'a rappelé une histoire ancienne de chocolat et de gâteau. (spéciale dédicace à ceux qui reconnaîtront ^^)

Je ne vais pas en refaire un remake, ni répéter les histoires que je ne veux pas lire, parce que ce serait faux. La preuve, c'est que je passe plus d'une heure par jour à lire sur les plateformes d'échange "gratuit" que ce soit de la fanfiction, ou sur ma nouvelle trouvaille, Wattpad.
Je ne suis donc pas fatigué de lire des horreurs où l'orthographe française est malmené par des gamines de treize ans (et des fois des hommes et des femmes beaucoup moins jeunes).
Je ne suis pas fatigué de lire des histoires "naïve", ni remplie de cliché.

Je ne sais pas pourquoi je continue de lire, en poussant des soupirs devant les "j'été chez mes parents à dormirent." Honnêtement, je ne sais pas. Mais il y a quelque chose qui m'accroche dans ces histoires. Une sorte de prise au tripes.
Je sais en générale comment ça va finir. C'est facile. Mais c'est pas ça qui est important.

Ce qui est important, pour moi, c'est qu'il y a du ressenti dans ce que je lis, c'est pas du recraché. Il y a quelqu'un qui a été passionné, qui a vécu son histoire comme il pouvait. Qu'elle a été écrite avec des tripes.

Mais ce que j'autorise en temps que lectrice, je ne me l'autorise pas, ni en temps qu'auteur, ni en temps qu'"éditrice" (ça me fait vraiment bizarre d'écrire ce mot associé à moi).
Un texte qui me touche juste parce qu'il est vrai ne sera pas retenu pour un appel à texte. Pas s'il ne fait que ça.

Parce que ça veut dire qu'il y a trop de travail derrière. Ca veut dire qu'il a toutes les chances aussi de perdre cette innocence avec les montagnes de travail qui attendent.

A l'inverse, un texte dont la prose ne m'a pas touché plus que ça, mais qu'à la fin, je suis restée interloquée, genre WTF ? Là, oui, il y aura une opportunité. Parce que j'ai été surprise, parce que je ne m'y attendais pas, mais que ça répondait parfaitement à la demande de l'AT.
(Non, je ne pense pas à un petit texte qui s'est rajouté à la fin de l'AT Eclosion, pour Transition, j'y pense pas du tout, pas du tout, du tout...)

Maintenant, après le recul que j'ai, et ma maigre expérience (2 AT où j'ai eu droit de vie ou de mort sur les textes, pour chez nous, c'est pas immense), je crois que le plus important, dans l'histoire pour répondre à un AT, c'est de ne pas oublier de se démarquer des autres.
Répondre au sujet tout simplement, c'est pas assez. Surtout si le thème c'est "éclosion". Raconter l'histoire d'une bêbête qui éclot, c'est mignon, mais, pensez au nombre de texte qu'on reçoit. On en a recu 25 pour cet AT. Vous voulez vraiment savoir le nombre qui racontait juste l'éclosion d'une petite (ou grosse) bêbête ?
A vue de nez, la moitié.
Et ceux que j'en ai retenu ? Celui du WTF. Les autres, j'ai oublié, mélangé toutes les bêtes ensemble, les fées, les dragons, les humains qui naissent...

Pourtant, tous ces textes, j'ai pu les apprécier. J'ai pu même les aimer et vraiment être à fond dedans. Enfin, j'aurais pu si je les avais lu sur Wattpad.
Mais j'avais un filtre enclenché.

Pour ceux qui me connaissent, j'ai écrit plus de romans achevés que de nouvelles. J'ai du mal avec le format court, et avec la réécriture. Et avec la réécriture de textes courts... J'aime la complexité, et j'aime compliquer les intrigues et les niveaux qui s'emmêlent. J'aimerais jouer avec mon lecteur, jusqu'à ce qu'il ne sache plus ou donner de la tête.
J'ai participé à seulement deux appels à textes, dont un concours public. J'aime profondement les deux nouvelles que j'ai écrites pour ces occasions. Et j'essaye souvent de comprendre si c'est juste que je ne suis pas assez mature pour l'écriture qui a fait qu'elle n'ont pas été sélectionné ou si c'est la faute à pas de chance.
J'aime pas penser à la faute à pas de chance. Parce que ce n'est pas quelque chose sur lequel je peux influer. Tandis que si je parviens à comprendre ce qui ne va pas dans ma narration, je peux l'améliorer...

Etre à la fois du coté auteur et éditeur en même temps est un exercice fascinant, je trouve. J'essaye toujours de comparer mes textes à ceux qu'on élimine d'un seul regard, ou ceux pour lequel on hésite plus longuement. Mais je crois au fond de moi que je sais très bien que l'un comme l'autre était de ceux qui ont été mis de coté tout de suite. Hors-sujet, trop compliqué et incompréhensible.

C'est un équilibre compliqué de ne pas faire la même chose que tout le monde, mais de ne pas partir complètement en live non plus.


Au final, on en revient à cette histoire de chocolat. (et là, je vais clairement expliquer pour que tout le monde puisse suivre). C'est toujours une histoire de dosage.
Un gâteau au chocolat, on peut y mettre des poires ou des amandes. Mais appelle-t-on toujours ça un gâteau aux chocolat s'il y a tant de choses qu'on ne distingue plus le chocolat dessous ?
D'un autre coté, le chocolat, c'est ce que tout le monde va mettre, c'est ce qui est requis par l'AT, mais c'est aussi les poncifs du genre, les clichés.
On veut un gâteau au chocolat. C'est ce qui est demandé par l'AT.
Les trois quartiers de pommes ou de poires, c'est de l'originalité, qui reste dans le thème. L'idée du soufflé au lieu du fondant habituel, c'est une autre forme d'originalité. (après, c'est pour continuer la métaphore gourmande, parce que je sais pas du tout ce que donnerait un soufflé au chocolat).
Mais si on se retrouve avec une tarte au pomme, avec quasiment pas de chocolat, on ne répond plus aux consignes.
Si on se retrouve avec un une tranche de rôti recouverte d'une sauce au chocolat amère, comme ils aiment, notamment au Mexique, on n'est plus non plus dans le "gâteau" au chocolat. Mais ce sera très original.

La tarte aux pommes, c'est ceux qui sont hors-thème. Mais elle peut être délicieuse, hein !
Le roti, c'est ceux qui sont hors ligne éditorial. Eux, ils sont moins aimé... tout de suite, parce que ça donne l'impression qu'ils ne cherchent pas à savoir ce qu'on attend. Ou qu'ils n'ont pas de jugeote.
(Comme envoyer des textes érotiques pour une collection tout public, y compris petite enfance... Désolé, ça passe pas)

Et après ils restent tous les autres.
Les cinquantes fondant au chocolat, le soufflé, les gâteaux plus étranges, et des fois, il faut le reconnaître, raté.
On ne sélectionne pas dix fois un fondant. On va selectionner le meilleur, celui qui est presque pas un fondant. Celui qui a des épices pour relever le gout, où une forme particulière (comme des triskels ? Okay, j'arrête les private joke)
Alors, si vous devez faire un gateau au chocolat, vous précipitez pas sur la première idée qui vous vient. Surtout pour un concours où on sélectionnera le meilleur.

Bref, sur ce mot de la faim, je vais chercher à manger...
Parce que ça creuse d'écrire des articles qui parlent de gâteau à longueur de temps...
(et je vous promets d'être un peu plus présente sur mon blog, sisisi, c'est pas une parole en l'air, j'ai des milliers de chroniques en retard...)